A l’ère du digital, le cerveau est submergé d’informations. Avec des métiers toujours plus polyvalents et les notifications du téléphone portable, ce sont plus de 11 millions de bits d’information par seconde qui atteignent le cerveau, alors que seuls 120 bits peuvent être consciemment traités en même temps*. Cette surcharge impacte directement le bien-être et la productivité. |
La lumière du jour et l’ouverture sur la nature : Une exposition, même très courte, à la lumière naturelle et une vue sur l’extérieur a un effet bénéfique sur le bien-être, les performances et la motivation**. Ainsi, il est important d’établir régulièrement un contact visuel avec l’environnement afin de restaurer les capacités de concentration. |
Profiter de la lumière naturelle sans contrainte
Ces bénéfices sont bien connus et il est aujourd’hui incontournable d’intégrer suffisamment de lumière naturelle dans la conception des bâtiments. Or celle-ci est également à l’origine d‘effets indésirables comme l’éblouissement et la chaleur, qui altèrent le confort des occupants. Les vitrages dynamiques SAGEGLASS répondent à cette problématique : la teinte des vitrages intelligents s’adapte automatiquement (ou manuellement) aux conditions extérieures, régulant ainsi les apports de lumière et chaleur, tout en restant transparents. Les vitrages SAGEGLASS procurent ainsi un maximum de lumière naturelle et offrent une véritable ouverture sur l’environnement, quelle que soit la météo, dans la mesure où aucun store, rideau ou volet ne vient entraver la vue.
Par exemple, les collaborateurs d’un des leaders du jeu vidéo étaient incommodés par l’éblouissement sur leurs écrans et la chaleur de la pièce, suscités par les rayons du soleil. Afin d’améliorer les conditions de travail de ses équipes, la société a récemment choisi le vitrage dynamique SAGEGLASS.
* Daniel J. Levitin, The Organized Mind: Thinking Straight in the Age of Information Overload
**Lee K.E. et al, 40-second green roof views sustain attention: The role of micro-breaks in attention restoration, Journal of Environmental Psychology 42 (2015)