Saga « Qui veut gagner en DPE ? » Episode 4/6 – Bâtiments moyens et grands collectifs construits entre 1969 et 1974

Isover a lancé la Saga “Qui veut gagner en DPE ?”, une série de six fiches diffusées toutes les deux semaines, proposant des solutions personnalisées pour chaque typologie de bâtiment en fonction de leur période de construction. Ces supports didactiques visent à présenter les conseils et solutions pour améliorer le DPE des bâtiments collectifs.

Dans cette quatrième fiche, Isover dresse le diagnostic et les solutions adaptées aux moyens et grands collectifs construits entre 1969 et 1974.

Cette catégorie représente 8,7 % du parc collectif français, englobant ainsi plus de 1 469 500 logements.

OÙ SONT LES DÉPERDITIONS ÉNERGÉTIQUES ?

La déperdition énergétique dans ce type de logement se fait essentiellement par les murs si l’immeuble n’est pas mitoyen (30 %), la ventilation (24 %) et les fenêtres (21 %).

Les déperditions pouvant être évitées par l’isolation représentent ainsi entre 30 % et 50 %.

COMMENT GAGNER EN DPE ?

Quels travaux prioriser ?

L’isolation des murs constitue le premier volet à aborder, car ce sont généralement les plus grands contributeurs aux déperditions thermiques.

Une fois que ces travaux d’isolation ont été réalisés, il devient alors pertinent d’optimiser le système énergétique global du bâtiment. Il est recommandé d’isoler les réseaux d’eau sanitaire et de chauffage, de changer les menuiseries si ça n’a pas déjà été fait et, si inexistant, d’installer un système de ventilation contrôlée.

Cette séquence d’interventions assure une approche progressive et cohérente pour une rénovation énergétique complète.

*Les parois opaques regroupent principalement les murs, le toit, les combles et le plancher

LA FICHE RÉSUMÉE EN VIDÉO

À NE PAS MANQUER !

La prochaine fiche de la Saga se concentrera sur les grands collectifs mitoyens type Haussmanniens et assimilés construits avant 1915, affichant une performance énergétique moyenne avec une classe de DPE E. Cette catégorie représente 3,7 % du parc collectif français, englobant ainsi plus de 632 800 de logements.